Le mot du président à d'éventuels lecteurs
Invitation à rejoindre DROIT DE VIVRE EN FRANÇAIS, par son président
Chers internautes intéressés par la cause d’une langue unique, notre langue, votre langue française, qui est en train de boire la coupe jusqu’à la lie dans les quatre coins de Suisse romande, nous devons tous nous unir pour tenter d’enrayer le massacre d’un idiome qui a tant donné au monde et que les élites de tout bord s’emploient à rejeter comme une pestiférée.
Rien en effet n’a été fait en haut lieu dans la Berne fédérale et même en Romandie - et alors qu’il était encore temps en ce début de siècle - pour mettre définitivement nos langues nationales, parmi lesquelles le français, à l’abri d’une langue prédatrice au moyen des garde-fous des plus contraignants.
Il nous incombe donc, gens responsables, de monter au créneau par tous les moyens possibles et imaginables pour faire entendre la voix de Droit de vivre en français, car il s’agit bien ici de notre existence en tant qu’entité francophone qui est en jeu. De même que les Québécois luttent pour leur survie dans un univers anglo-américain qui leur est résolument hostile, nous ne pouvons plus rester les bras ballants sinon, dans un avenir plus très éloigné, notre « vernaculaire » ne servira plus qu’à alimenter les potins du Café du Commerce.
Philippe Carron
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